Un événement signé Eureka Intérim, au cœur du Mois de l’Économie Sociale et Solidaire : le 27 novembre, au Cinéma Cinéville de Dijon un moment pour comprendre, relier et transformer
Un territoire mobilisé : 300 voix réunies pour écouter celles trop souvent oubliées
Le jeudi 27 novembre, Eureka Intérim a réuni plus de 300 personnes au Cinéma Olympia de Dijon pour l’avant-première de Tout va bien, le film-documentaire réalisé par Thomas Ellis. Organisée dans le cadre du Mois de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS), cette soirée a dépassé le simple cadre d’une projection en avant-première : elle s’est imposée comme un temps fort pour le territoire, une respiration collective consacrée aux parcours de vie, à la résilience et au rôle des acteurs de l’inclusion.
Cinq jeunes, une même force : la résilience comme fil conducteur
À travers Tout va bien, Thomas Ellis plonge le spectateur dans l’intimité de cinq jeunes — Aminata, Tidiane, Abdoulaye, Khalil et Junior — arrivés seuls en France entre 14 et 19 ans.
Leur point commun : avoir tout quitté pour survivre, reconstruire, espérer.
Leur courage : apprendre un pays, une langue, un métier, et répéter aux familles restées au loin : « Tout va bien », même lorsque les défis sont immenses.
Sur l’écran, les rires, les doutes, les silences et les élans d’espoir tracent un récit profondément humain.
Dans la salle, l’émotion est palpable. Les regards se croisent, se comprennent, se reconnaissent.
« C’est un film excellent, qui m’a beaucoup touché. Il montre la réalité de jeunes qui ont quitté leur pays, parfois leur famille, pour tenter de réussir leur vie ailleurs. On ne parle pas assez des difficultés qu’ils traversent. Le réalisateur a vraiment du mérite d’avoir révélé ces histoires. »
« Ce film éclaire des situations que nous rencontrons tous les jours. Il apporte de la compréhension, de l’humanité. J’ai vraiment apprécié. Allez voir ce film ! »
Un débat vivant et nécessaire
À l’issue de la projection, un débat d’1h30 a permis d’approfondir les enjeux soulevés par le film.
Le réalisateur, entouré d’acteurs de terrain et de professionnels de l’insertion, a partagé :
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les coulisses du tournage,
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les rencontres qui ont façonné le film,
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les enjeux d’accompagnement des jeunes exilés,
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la place des entreprises dans la reconstruction des parcours,
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et les défis quotidiens des professionnels de l’emploi.
En parallèle, un Live Twitch coorganisé avec la Mission Locale by LABONID a donné la parole aux jeunes, aux élus et aux partenaires, offrant un regard brut, immédiat, et complémentaire à celui de la salle.
Une démarche qui incarne l’ADN d’Eureka
Chaque année, plus de 10 000 personnes sont accompagnées vers l’emploi et l’autonomie.
Cet événement reflète pleinement la mission portée par Eureka Intérim et plus largement par le Groupe La Varappe :
faire de l’inclusion un levier de transformation, individuelle et collective.
Chaque jour, nos équipes accompagnent celles et ceux qui traversent des épreuves, qui doutent, qui cherchent leur place.
Nous croyons profondément que :
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chaque parcours mérite d’être vu,
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chaque histoire mérite d’être entendue,
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chaque potentiel mérite d’être révélé.
Lorsque les acteurs de l’emploi, les institutions, les entreprises et les citoyens se réunissent, les trajectoires s’éclairent et les possibilités s’élargissent.
Au total, à Dijon, plus de 900 personnes, dont de nombreux scolaires ont déjà pu découvrir le film, échanger, questionner et comprendre.
Une dynamique rendue possible grâce à Equi-Link, programme porté par Eureka et cofinancé par l’Union européenne, qui renforce le pouvoir d’agir des jeunes à travers la culture, le sport, l’emploi et la découverte professionnelle.
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